Décès de Fernande Gauthier

Une citoyenne honorable nous a quittés

Nathalie et Jean-François St-Laurent – Nous avons le regret de vous annoncer le décès de madame Fernande Gauthier Sureau. Elle laisse dans le deuil son mari Claude Sureau, ses cinq enfants Serge, France, Ginette, Nathalie conjoint (Gérald), Éric conjointe (Odette), ainsi que ses petits-enfants Jean-François, Patricia, Priscilla, Toby, Karine, Mindy, Jonathan, Matthieu, Corey, Kevin, Mélissa, ainsi que ses arrière-petits-enfants.

Un mot de son petit-fils Jean-François

Voici un dernier hommage à ma grand-mère, Fernande Gauthier, décédée à l’âge de 77 ans le jeudi 25 mai dernier à l’hôpital Hôtel-Dieu de Saint-Jérôme. Grand-mère, en mon nom, au nom de tes proches et celui de la famille, j’aimerais te remercier pour toutes les belles années passées en ta présence et à tes côtés. Tu auras toujours su jour après jour nous donner l’exemple, nous guider et nous motiver, tant par ton amour, ta sagesse, ta bonté et ton implication au sein de notre communauté. 

Grand-maman, il est important que tu saches que tu seras toujours présent dans nos cœurs pour l’éternité. Repose en paix. – Ton garçon et petit-fils, Jean-François St-Laurent.

Le Journal se souvient

L’équipe du Journal se souvient de février 2003 ou Fernande Gauthier entamait sa première année en tant que représentante publicitaire du Journal de Prévost. À l’époque nous tirions à 5500 exemplaires. Son implication dans le Journal et dans la société prévostoise lui a valu un respect inaliénable de sa communauté et de l’équipe du Journal. Grâce à son dévouement et à son implication sociale, le Journal est passé à 8 000 copies en octobre 2004. Vendre de la publicité dans un journal communautaire tient davantage de l’implication citoyenne que du commerce. Et c’est là que l’implication sociale et la sensibilité de Fernande ont pu jouer un si grand rôle dans le développement du Journal. Sa contribution s’échelonna jusqu’en janvier 2020, soit 17 ans d’un soutien continu à l’information locale. – Merci, Fernande, le Journal et notre communauté te doivent beaucoup.