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Lundi 13 juin 2022
Yvon Blondin– Bonne nouvelle pour la Ville de Prévost, une école secondaire y sera construite! La députée Marguerite Blais en a confirmé l’annonce il y a quelques jours. Opérationnelle en 2026, cette école secondaire sera située quelque part sur l’ancien terrain de golf de Shawbridge et pourra accueillir mille élèves. Un terrain de 500 000 p2 sera nécessaire pour son établissement. Le citoyen Jean Millette demande si la Ville de Prévost devra offrir le terrain au Centre de services scolaire. La réponse a été oui, mais à quel coût, nous ne le savons pas encore. Votre chroniqueur a demandé au maire si l’accès au site se fera de la route 117, de la rue Principale ou les deux ? Le maire Germain ne peut répondre pour le moment à cette interrogation. Une deuxième question se rapportait à la proximité de la future bibliothèque avec cette nouvelle école et la réponse fut que cela n’est pas un prérequis, mais une possibilité.
Le Centre le Portage, un endroit qui accueille les personnes avec des problèmes de toxicomanie, a demandé une exemption de taxes foncières. Le Conseil décida que seulement un pourcentage de leur demande leur sera accordé.
L’adoption du règlement 601-81 permettant l’usage de service de garde verra naître une prématernelle à l’arrière de la Caisse populaire, près du restaurant Ben & Florentine. Trente enfants pourront y être accueillis et six moniteurs y travailleront. Ajoutons que deux autres garderies y verront le jour dans ce même secteur.
Un citoyen propriétaire d’un terrain sur la rue de la Station qui est en infraction pour avoir remblayé une zone humide a 30 jours pour remettre le tout dans son état naturel sinon une somme de 75 000 $ a été voté pour effectuer les travaux et évidemment le tout lui sera facturé.
Un montant de 411 000 $ a été voté pour la réfection, fondation, pavage et drainage de la montée Sauvage. Le maire salua la patience de ces citoyens.
Eh oui, on parle déjà de patinoires ! La compagnie Prodesign a été choisie pour la confection et l’entretien des patinoires pour 2023 – un montant de 84 150 $ a été voté.
Des problèmes d’odeurs nauséabondes persistantes ont été déplorés provenant de l’étang d’aération no 1. Une membrane liquide au coût de 6 970 $ a été installée, mais rien n’y fit. Le plan B sera l’utilisation d’un brumisateur qui couperait l’odeur au-dessus de l’étang, souhaitons son efficacité !
À la suite des intempéries subies dans notre Ville durant la fin de semaine des Patriotes, la Ville de Prévost a fait l’acquisition d’un logiciel au coût de 13 620 $ permettant d’avoir un suivi en temps réel de la disposition du personnel sur le terrain ainsi que de l’équipement nécessaires dans ces circonstances.
Une aide financière de 1000 $ a été octroyée pour chacun des comités de citoyens du lac René et du lac Renaud afin de combattre le myriophylle à épis. Le maire salue le travail acharné de ces bénévoles.
Une maison des jeunes Le local de Prévost verra le jour, 5000 $ a été voté pour ce beau projet. Le hic, le local n’a pas encore été trouvé. Si des personnes se sentent interpellées, contactez la Ville. Avec la grandeur du territoire de Prévost, peut-être aurions-nous besoin de deux espaces ?
Un budget d’exploitation de 25 000 $ a été voté pour des travaux dans le parc de la Coulée. Encore une fois, le maire salue les bénévoles impliqués.
Les citoyens sont venus partager des problèmes de bitume avec le Conseil. Premièrement, le carrefour giratoire du Clos prévostois : une bonne délégation de citoyens a demandé la réfection de cet ouvrage qui, selon eux, est devenue plutôt chaotique. Monsieur le maire a reconnu que beaucoup d’argent doit y être investi et que la Ville travaille sur un plan d’action. Même problème dans le secteur du Versant-du-Ruisseau, encore là plusieurs corrections devront y être effectuées.
À la suite de la demande de citoyens, une requête a été faite au ministère des Travaux publics pour réduire la vitesse à 70 km/heure sur la route 117 entre la limite sud (à la hauteur de la quincaillerie CANAC) et jusqu’à l’entrée du boulevard des Clos prévostois (à la hauteur du IGA).
Johanne Lavoie a demandé à monsieur le maire pour quelle raison la Ville répare le barrage du lac Saint-François avec les taxes de citoyens, alors que ceux-ci ne peuvent y accéder. La réponse est que cela a été une obligation gouvernementale d’y faire ces travaux; quant à l’accès au lac, le conseiller Leckman y travaillait. Celui-ci avance que la pratique de la planche à pagaie pourrait dans un avenir prévisible s’y pratiquer.