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À la rencontre des citoyens et de collaborateurs généreux
Carole Bouchard – Les pages du Journal ont accueilli au cours de ces vingt dernières années plus de 90 collaborateurs et journalistes stagiaires tous les ans. Certains ont publié un seul texte alors que d’autres écrivent encore depuis 20 ans !
Plusieurs de ces articles nous ont permis de découvrir l’âme, l’humour, l’implication dans leur communauté et la générosité de ces personnes. Losqu’en mai 2008, Marc-André Morin nous présente Denis Laquerre « le bénévole extrême de l’année… qui a su, malgré son handicap intellectuel, se tailler une place dans la communauté. », il permet à tous ceux qui l’ont croisé à la gare de Prévost de lui exprimer leur reconnaissance.
Mai 2008 – Denis Laquerre est tout un phénomène, un genre de surprise pour ceux qui se donnent la peine de le regarder aller. Il pratique le bénévolat extrême, une discipline qu’il invente quotidiennement. Contrairement aux coureux de reconnaissance sociale, il pratique en solitaire, il détermine un besoin communautaire, se fixe une tâche et l’accomplit. Spontanément, sans que personne ne le lui demande, il a entrepris de refaire une beauté à la piste cyclable sur une distance de plusieurs kilomètres. – Marc-André Morin
Jasmine Valiquette a fait, elle aussi, de remarquables portraits, dont celui de Richard Piché et Alain Pilon. Sa rencontre avec Richard Piché nous a confirmé, pour ceux qui le côtoyaient au Marché Bonichoix, que l’accueil qu’il nous faisait, sourire et bras ouverts, lui venait tout naturellement : « Pour lui, c’est facile, ce n’est pas un travail… C’est inné chez lui cette façon de travailler sans travailler. »
Mai 2015 – Portrait d’un passionné – On dit de lui que c’est un homme bon… comme le bon pain… Pour toutes ces années d’expérience dans ce domaine, on pourrait l’honorer en le nommant « Grand Maître-Connaisseur des fruits et légumes », mais monsieur Piché est beaucoup plus humble, il n’aime pas les titres. Il dit aimer ce qu’il fait. Pour lui, c’est facile, ce n’est pas un travail… C’est inné chez lui cette façon de travailler sans travailler. Son implication le rend heureux, toujours et encore, et tout cela avec un naturel qu’on ne voit pas souvent. – Jasmine Valiquette
Elle a aussi écrit un portrait de l’homme derrière Porto, le chien qui parle, c’était Alain Pilon : « il a ce don de parler aux chiens » et a partagé dans sa chronique son quotidien avec son chien en histoires et anecdotes pendant sept années.
Mai 2017 – Porto le chien qui parlait – Le ciel des chiens existe-t-il vraiment…? Oui, le ciel des chiens existe vraiment. À preuve, c’est moi Porto, le chien qui parle, je suis décédé le 17 mars dernier et suis rendu au ciel des chiens. J’ai été chroniqueur mensuel de ce journal depuis près de sept ans. Pour une dernière fois, laissez-moi vous présenter mon maître, Alain Pilon, ami des chiens. – Jasmine Valiquette
Appartenir à sa communauté en s’impliquant aux activités organisées par l’Église, Anne Ouellet connait bien en tant que responsable de la pastorale. Pour le 75e anniversaire de la Paroisse, l’occasion était parfaite pour présenter Bertrand Néron et le laisser parler de sa foi et de ses convictions.
Mai 2009 – Un Prévostois dynamique et fier de ses convictions… Qui est Bertrand Néron, au juste ? Bertrand Néron a été professeur, puis en direction d’école pendant de nombreuses années. Dès son arrivée à Prévost et sans compter son temps ni les efforts, il s’investit dans la vie active de sa communauté paroissiale. Il est d’abord marguillier et participe à la réfection de la toiture, puis devient lui-même Président de Fabrique pendant quelques années. Sa plus grande fierté, c’est l’organisation des fêtes entourant le 75e anniversaire de la Paroisse en l’an 2000. – Anne Ouellet
Un envol fragile
En mai 2004, à l’occasion du Jour de la terre, au bas des falaises de Prévost, une activité de sensibilisation aux oiseaux de proie avait été organisée.
Luc Lefebvre du centre de réhabilitation de la faune aviaire des Laurentides (CRAL) et Claude Bourque, président du Comité régional pour la protection des falaises (CRPF) ont invité le public et les adeptes à la remise en liberté d’une chouette rayée, et de deux faucons crécerelles. Une occasion toute indiquée afin de rappeler que « cet escarpement de falaises qui s’étend de Prévost à Piedmont est un corridor migratoire où 24 des 28 espèces d’oiseaux de proie ont été observés. Ce site a été qualifié d’exceptionnel par la Société de la faune et des parcs du Québec ce qui en fait un site d’observation national au niveau de la faune et de la flore. Un site d’une grande valeur qui doit être protégé », comme le rappelait Luc Lefebvre.
Environ 10 M$ pour la construction domiciliaire et la rénovation à Prévost – mai 2001
En mai 2001, Jean Laurin observait une forte croissance dans le développement de maisons neuves et dans le domaine de la rénovation domiciliaire à Prévost. Une résidence de 100 000 $ permettait aux jeunes ménages de faire l’acquisition de leur première propriété, pouvait-on lire ! Aujourd’hui, avec l’augmentation des prix des matériaux, combien payeraient une petite famille pour faire l’achat d’une première maison ?
Aller à la présentation d’un film du Ciné club de Prévost était assurément une occasion pour faire des rencontres uniques. En mai 2018, cela a été d’une rencontre avec Dominic Lamontagne.
Avec ce nouvel élan qu’on observe de citoyens qui se font un potager ou qui se procurent des poules pondeuses, les observations et les aventures de celui-ci sont un incontournable; il faut le suivre sur sa page Facebook « La ferme impossible ».