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Des collaborateurs inspirés
Carole Bouchard – La générosité, le talent et les compétences de plusieurs de nos collaborateurs dans le domaine culturel nous a permis de publier, au fil des ans, des articles qui traduisaient leur belle passion pour des sujets très diversifiés.
Matt Herskowitz, absolument phénoménal !
« …Indéniablement, nous avons vécu un grand moment musical. « Matt est un géant », a dit de ce pianiste Dave Brubeck en personne. En effet, M. Herskowitz est un passionné qui joue parfois de tout son corps, possédé par la musique. Ce qui frappe également, c’est la faculté qu’il a de passer d’une extrême vigueur à une infinie délicatesse avec la même étonnante aisance que le félin qui retombe doucement sur ses pattes après un saut périlleux… », écrivait Gisèle Bart en octobre 2011.
Musique Klezmer : Kleztory, stupéfiant !
« Campez au centre de la scène un extra-terrestre. Flanquez le d’un elfe, géant dans tous les sens du terme, et d’un lutin, grandeur humaine, que vous entourerez de deux vestales fines et blondes. Voilà pour le visuel. Pour ce qui est de l’auditif, je ne pense pas exagérer en disant que ce samedi-là, nous avons vécu tour à tour l’extase et le délire. En effet, il y avait quelque chose de surnaturel dans la stupéfiante prestation qui nous fut présentée… », écrivait Gisèle Bart en octobre 2013.
Les champignons avec Marie Morin
La saison d’automne est, pour les passionnés des champignons, le moment idéal pour aller parcourir les sous-bois à la recherche de spécimens savoureux. Le club des mycologues nous a permis d’en découvrir plusieurs par la plume de Marie Morin.
« Mais, prudence avec les armillaires, un de mes livres mentionne qu’ils peuvent causer des malaises gastriques à certaines personnes. Pourtant, j’en mange depuis de nombreuses années et dans mon entourage on en mange aussi depuis longtemps sans aucun problème. On recommande de les cueillir jeunes, de bien les cuire et de n’en prendre qu’une petite portion pour la première fois, histoire de vérifier une possible sensibilité. Il faut savoir qu’en vieillissant, les champignons synthétisent des substances toxiques qui ne sont pas normalement présentes. Même les champignons du commerce lorsqu’ils sont défraichis peuvent causer des malaises… », écrivait Marie Morin en octobre 2013.
Maison Aloïs Alzeihmer, le rêve devient réalité
« La levée de fonds bat son plein à la Maison Aloïs Alzheimer depuis qu’elle a acquis le bâtiment appartenant à la Chandellerie Dupuis à Saint-Jérôme, en vue d’y installer son centre de répit. L’ouverture du centre est prévue pour le temps des fêtes prochain… Dans les Laurentides, près de 20 % de la population est âgée de plus de 65 ans. Il est impressionnant à noter que pour la seule ville de Saint-Jérôme, on estime le nombre de personnes atteintes de déficit cognitif de type Alzheimer ou susceptible de l’être à plus de 1500. Il est estimé que ce chiffre croîtra de 6% si la croissance démographique actuellement observée dans les Laurentides se maintient… », écrivait Isabelle Schmadtke en octobre 2009.
L’environnement – S’assurer d’une qualité de vie
En octobre 2001, l’invasion de myriophylle au lac Saint-François a mobilisé tous les riverains afin d’arracher celle-ci après que le niveau de l’eau du lac a eu été abaissé. Et en 2005, une prolifération de cyanobactéries a rendu l’eau du lac verte. Encore une fois, les riverains ont dû identifier les causes afin d’apporter les solutions.
Lutte à finir, des citoyens prennent leur environnement en main
« Le 27 octobre prochain (le 28 en cas de pluie) les riverains du Lac Saint- François au Domaine Laurentien se regrouperont pour arracher collectivement une algue indésirable, le myriophylle… Cette intervention fait suite à une initiative d’un jeune couple d’enseignants, Chantal Caron et Steve Ouellette, qui ont décidé de s’installer au Lac Saint-François il y a environ 5 ans. Depuis quelques années mais principalement cet été, ceux-ci et leurs jeunes enfants n’ont à peu près pas pu se baigner ou utiliser leur « pédalo », les algues constituant une barrière à ces simples activités… », écrivait Benoit Guérin en octobre 2001.
Un lac en détresse : un « bloom » de cyanobactéries sévit au lac Saint-François
« En septembre dernier, les riverains du lac Saint-François ont vu en quelques jours le lac devenir vert. Une prolifération de cyanobactéries (algues bleu-vert) en était la cause. Les échantillons prélevés par le ministère du Développement durable ont confirmé la présence de ces algues microscopiques et des recommandations ont été émises par la Direction de santé publique aux riverains afin d’éviter tout contact avec le plan d’eau… L’espoir – Ce qui est encourageant, c’est que le processus est réversible : la réduction de l’apport de phosphore fera disparaître les cyanobactéries. Grâce à un plan d’action élaboré avec la Ville de Prévost et l’association, tout laisse croire que le niveau de phosphore diminuera… l’état désastreux du lac est le résultat d’une accumulation de comportements néfastes des résidants vivant près ou au bord du lac. Souvent, ces comportements sont faits par ignorance des conséquences ou par un non-croyance des impacts annoncés par l’association des riverains du lac Saint-François… », écrivait Steve Ouellette en octobre 2005 (page 1 et page 3).