Conseil de Prévost – Mars 2016

Séance ordinaire du conseil municipal du lundi 14 mars 2016 à 19 h 30.

Soirée, somme toute calme, les conseillers Léger et Badertscher étaient absents. Le conseil a veillé aux affaires courantes.

Gestion des affaires financières

La réserve financière du réseau d’aqueduc du lac Écho est, pour la Xième fois, déficitaire et sera renflouée par le retour de la taxe d’essence qui est remise à notre Ville. Cette année 28 014 $ y seront nécessaire. Monsieur Guy Roy, résident du secteur, est fatigué d’entendre, année après année, qu’on casse du sucre sur le dos de son réseau, monsieur Richer lui répond que celui-ci est vétuste et que seulement 167 résidents y contribuent.

Gestion des affaires juridiques

Le dossier du Havre des falaises, développement situé à Piedmont, mais qui aurait accès à Prévost près du centre de jeunesse Batshaw, pose problème pour notre Conseil. Deux cent cinquante résidences y seraient construites, mais n’amèneraient que des inconvénients pour notre ville : circulation, service d’incendie, etc. Suite à un pourvoi en contrôle judiciaire, la ville de Prévost doit se défendre et a retenu les services de la firme d’avocats Le Chasseur.

La bibliothèque Jean-Charles-Desroches annule les frais de retards, accumulés à date, qui se chiffrent à 369 $. À une question d’un citoyen à monsieur Richer, demandant combien de livres n’étaient pas de retour, celui-ci a répondu qu’il n’avait pas les données en main.

La Ville a fait l’acquisition d’une bâtisse ainsi que son terrain au 904 rue Richer, intersection Doucet pour la somme de 300 000 $. Un commerce de fleurs y était installé; voisin de l’Écocentre de Prévost, cet achat permettra d’agrandir ce dernier.

Module – Gestion des contrats

La location d’un camion de pression fut renouvelée pour l’année 2016 pour la somme de 42 515 $. – Un autre renouvellement pour le rinçage unidirectionnel et l’inspection des bornes d’incendie est accordé à la firme Nordico pour 25 586 $. – Un regroupement d’achats d’abat-poussière avec l’Union des municipalités du Québec pour une quantité de 210 000 litres s’est conclu pour un montant de 60 000 $.

Questions du public

Monsieur Carlevaris, ce citoyen intéressé par l’orientation de notre future bibliothèque, questionne monsieur Richer sur la possibilité d’une consultation publique. Ce dernier répond qu’effectivement l’opinion des citoyens sera sollicitée à ce sujet.

Monsieur Jacques Vaillancourt, rue Mozart. Ce nouveau propriétaire retraité était pour le moins furieux. Une hausse de 11 % de son évaluation s’est traduite par 371 $ de plus sur son compte de taxes. Monsieur Richer s’est dit empathique à sa cause, mais rejeta le blâme sur l’opposition, qu’il accusa de ne pas tenir compte de la capacité de payer des citoyens, celle-ci étant majoritaire à la table du Conseil.

Monsieur Léon Archambault, rue des Mésanges. Le dossier d’Internet, haute vitesse préoccupe particulièrement ce citoyen, il demande au Conseil de maintenir la pression sur les câblodistributeurs pour un service adéquat le plus rapidement possible. Monsieur Richer répond que le conseiller Badertscher tiendra une réunion sous peu concernant ce problème.

Une autre question de ce citoyen touchait l’embauche d’un agent de sensibilisation pour l’implantation de la collecte des matières putrescibles (bacs bruns) pour un montant de 9 600 $.

La conseillère Paquette prit la parole et expliquait que cette démarche est nécessaire pour diffuser l’information et garantir la réussite du projet. La Ville ne peut être que gagnante parce que, si nous réduisons les matières déposées dans les bacs verts et qu’ils sont judicieusement distribués dans les bacs bleus et bruns, ceci réduit le tonnage au centre d’enfouissement, et du coup diminue la facture.

Monsieur Pierre Daigneault, rue de la Montagne. Pour clore la période des questions, ce citoyen demandait où en était le suivi sur le dossier de l’éclairage qui fut installé dernièrement sur la route 117, des citoyens ayant manifesté leur insatisfaction par rapport à l’éclairage Dell qui les indisposait. – Monsieur Richer répondit que les intervenants travaillaient là-dessus.

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